EXPOSITION EN COURS

"Komorebi" Frédéric Bouffandeau

du
29
Mar
2025
au
21
Jun
2025
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Komorebi, Ce mot désigne en japonais, le chatoiement de l'ombre et de la lumière créé par les feuilles qui se balancent au gré du vent. Il n'existe que dans le moment.

Fait de constructions et de dé-constructions, de découpes, de pliages, de superpositions, d'assemblages, de collages, l'ensemble des recherches questionne le motif en tant que sujet de peinture tout autant que peinture lui-même. Au travers des dessins, des peinture ou des céramiques, le motif est contraint par le support qui l'accueille. La couleur, les couleurs devrais-je dire, opèrent des déclinaisons, des variations sensibles de teintes, … chacune de ces déclinaisons offrant de nouvelles possibilités et chacune étant une nouvelle contrainte à la fois. Colorées, fraîches, vives, mes œuvres restent graphiques. Elles ont parfois quelque chose d'ornemental. Essentielles, sensibles, élégantes, toujours les œuvres montrent d'une grande cohérence, d'une diversité mesurée, résultats de variations ténues mais efficientes. Répétition et changement sont au centre de mon œuvre qui, rappelant la fragilité de l'existence, entrent en résonance avec la philosophie bouddhiste, avec l'idée d'un émerveillement constamment renouvelé.

"In the Shade" Jérémy LIRON

du
07
Aug
2021
au
16
Oct
2021
On ne sait jamais des images qui semblent se dresser dans la vue, des moments qui nous retiennent, s’ils nous sont suggérés par une configuration du réel ou par ce que l’on y projette.

A vrai dire, un tableau sous cet aspect est le mariage d’une prise de note ou d’une saisie du regard et d’une rêverie ou d’un fantasme. S’y rencontrent des ressemblances, des souvenirs autant que des partis-pris, des arrangements, des jeux entre le monde des choses et le monde des signes, entre la profondeur et la surface, l’illusion et le concret. S’il s’agit d’un muret, de la lumière qui tombe dessus, de l’ombre qu’il projette, bientôt tout se joue dans le contact de deux teintes, dans un dialogue de gestes, la trame abstraite d’une composition.
Tout ne s’y laisse pas dire ou décrire.
On pourrait dire simplement qu’il s’agit de paysages, que l’on y croise la chorégraphie d’arbres et la géométrie d’architectures, mais, empruntant les mots de Bataille, j’oserais écrire que « l’essentiel me parait plus tortueux, et plus vague, l’essentiel a peut-être le sens d’une inextricable totalité. »

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