EXPOSITION EN COURS

"Komorebi" Frédéric Bouffandeau

du
29
Mar
2025
au
21
Jun
2025
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Komorebi, Ce mot désigne en japonais, le chatoiement de l'ombre et de la lumière créé par les feuilles qui se balancent au gré du vent. Il n'existe que dans le moment.

Fait de constructions et de dé-constructions, de découpes, de pliages, de superpositions, d'assemblages, de collages, l'ensemble des recherches questionne le motif en tant que sujet de peinture tout autant que peinture lui-même. Au travers des dessins, des peinture ou des céramiques, le motif est contraint par le support qui l'accueille. La couleur, les couleurs devrais-je dire, opèrent des déclinaisons, des variations sensibles de teintes, … chacune de ces déclinaisons offrant de nouvelles possibilités et chacune étant une nouvelle contrainte à la fois. Colorées, fraîches, vives, mes œuvres restent graphiques. Elles ont parfois quelque chose d'ornemental. Essentielles, sensibles, élégantes, toujours les œuvres montrent d'une grande cohérence, d'une diversité mesurée, résultats de variations ténues mais efficientes. Répétition et changement sont au centre de mon œuvre qui, rappelant la fragilité de l'existence, entrent en résonance avec la philosophie bouddhiste, avec l'idée d'un émerveillement constamment renouvelé.

Jérôme Boutterin

du
10
Mar
2012
au
22
Apr
2012
Pour son exposition personnelle à la galerie Eric Linard, Jérôme Boutterin a choisi de déployer la série des monochromes dans l’ensemble de l’espace.

Par l’humour du titre qui fait explicitement référence à une nouvelle saison, l’artiste a choisi de rassembler certaines pièces du début de cette série avec les plus récentes. Martin Engler, directeur des collections contemporaines au musée de Frankfort écrit à propos de ces peintures : « Si les monochromes se servent exclusivement d’une seule couleur sans mélange, ce qu’ils représentent, toutefois, est tout sauf une surface uniforme monochrome. La composition apparemment intacte se révèle être un lacis de plusieurs couches d’abréviations fragmentaires, un horror vacui de la peinture, une réserve inépuisable de possibles, dans lequel le geste se perd dans l’all-over. Dans un processus calculé, qui s’enivre en même temps de lui-même, les gestes sont placés l’un après l’autre. »

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