EXPOSITION EN COURS

"Komorebi" Frédéric Bouffandeau

du
29
Mar
2025
au
21
Jun
2025
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Komorebi, Ce mot désigne en japonais, le chatoiement de l'ombre et de la lumière créé par les feuilles qui se balancent au gré du vent. Il n'existe que dans le moment.

Fait de constructions et de dé-constructions, de découpes, de pliages, de superpositions, d'assemblages, de collages, l'ensemble des recherches questionne le motif en tant que sujet de peinture tout autant que peinture lui-même. Au travers des dessins, des peinture ou des céramiques, le motif est contraint par le support qui l'accueille. La couleur, les couleurs devrais-je dire, opèrent des déclinaisons, des variations sensibles de teintes, … chacune de ces déclinaisons offrant de nouvelles possibilités et chacune étant une nouvelle contrainte à la fois. Colorées, fraîches, vives, mes œuvres restent graphiques. Elles ont parfois quelque chose d'ornemental. Essentielles, sensibles, élégantes, toujours les œuvres montrent d'une grande cohérence, d'une diversité mesurée, résultats de variations ténues mais efficientes. Répétition et changement sont au centre de mon œuvre qui, rappelant la fragilité de l'existence, entrent en résonance avec la philosophie bouddhiste, avec l'idée d'un émerveillement constamment renouvelé.

Moschini 2020

du
01
Aug
2020
au
31
Oct
2020
Guillaume Moschini travaille autour d’un geste, d’une teinte, dans une matière toujours très liquide, mêlant à l’envie encres, acrylique et alcool à brûler.Il utilise de la toile de coton ou de lin brute. Le support non apprêté permet à la peinture de faire corps avec la toile, à la couleur d’irriguer les fibres, d’infuser la matière.

Son geste est porteur d’une émotion, d’une tension, qui ne naissent qu’à travers des jeux d’équilibres et de déséquilibres entre formes et couleurs, excluant tout systématisme. S’il a toujours été question d’esthétique dans ce travail, ce n’est guère la beauté des couleurs qui est visée, mais leur fragile balancement, dépendant des contextes d’exposition et du regardeur qui en capte et recrée les valeurs à chaque instant.

Parmi les artistes qui nourrissent sa recherche sur la couleur et l’espace pictural, Guillaume Moschini évoque le peintre italien Giorgio Griffa, ainsi que les américains Morris Louis et Kenneth Noland . Il souligne aussi l’importance que revêt pour lui l’artiste Helen Frankenthaler en faisant référence à l’une de ses toiles exposée au Moma, « Mauve District », dont les teintes et la composition ont fréquemment servi de socle à ses recherches.

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